Ah ah ah !

3 Avr

(Note initiale : je mettrai en couleur et en forme ce soir  car WordPress me gave…)

(Note bis : c’est juste pour le fun, okay, entre second et vingtième degré !)

 

Ah ah ah !

Ou une journée quotidienne au boulot !

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Alors alors, on va direct à la conclusion qui est à prendre au 4ème degré. Si on prend tout cela au mot le mot, ça donne :

  • une nouvelle ère AMP !!!! Oh yeah !
  • les femmes (ben oui y’est marqué éducation maternelle, oust l’éducation paternelle) ayant un taux de fécondité très faible sont d’autant plus éduquées ! Les filles ont est des balèzes !!!!!
  • l’AMP, un mot courant, si courant.
  • la fécondité, une capacité si facile, et qui plus est éducative.

N’importe nawak … !

Au boulot, mes yeux ont fait Aie ! Oulalalalala…. et ma tête à cogitée. C’est moi ? ou vous aussi vous trouvez qu’y a un truc bizarre ? Utilisé « taux de fertilité » (passe encore pour celui-ci) et « taux de fécondité » (ben là, ça passe plus) ne serait-il pas un abus de langage, vous en pensez quoi ? En lisant de but en blanc ainsi, et idem pour Chérid’A, ça m’a fait « y’a comme un bug » ?

La fécondité ne serait-elle pas juste la capacité à procréer ? On nous aurai induit en erreur ?

Oulalalalala… Mon regard n’est plus que biologique. Bordal de chez bordal. C’est qui le c*uillon de démographe qui a utilisé un abus de langage détournant par là même le sens biologique du mot fécondité ? Mais il (ou elle) n’aurait pas pu trouver un autre terme ? Parce que pour moi fécondité = capacité à procréer. Donc un taux de fécondité stricto sensus ne peut pas se réduire par l’éducation. Ou alors les filles, oubliez tout ce que vous avez appris !

Du coup, puisque « la fécondité est en démographie l’étude de la reproduction ». Ben alors, pourquoi ne pas avoir employé taux de reproduction plutôt que de fécondité ? Mince quoi. Ça aurait eu plus de sens. Ça aurait évité ce qui est à mon sens un abus de langage. Peut-être parce que le mot reproduction c’est pas super sexy comme terme, ça fait trop animal, ça fait moins classe, bref je sais pas. Mais bon, en attendant, ils ont détourné le mot fécondité. Gna.

Franchement ils auraient pu davantage réfléchir aux termes : reproduction = capacité à se reproduire donc taux de reproduction, marde quoi !

Bon, sinon, je suis d’accord que l’éducation permet de maitriser sa fécondité, ça ok. Mais je trouve quand même que parler d’éducation qui réduit le taux de fécondité est un abus de langage.

Alors j’ai vérifié, et surprise. Ce sont bien les termes reconnus.

  • Le taux de natalité est le rapport entre le nombre annuel de naissances et la population totale exprimée en pour mille (‰).
  • Le taux de fertilité total représente le nombre d’enfants nés d’une femme si elle vivait jusqu’à la fin de sa période de fécondité et donnait naissance à des enfants conformément aux taux de fertilité actuels propres à chaque tranche d’âge.
  • Le taux de fécondité, ou indice de fécondité, est un indice statistique permettant de mesurer la tendance d’une population à augmenter ou à diminuer naturellement (donc l’accroissement naturel, c’est-à-dire sans tenir compte des flux migratoires). Il s’agit d’une mesure transversale. Cet indice peut prendre plusieurs formes, qui ont leurs méthodes et leurs intérêts propres : indice de fécondité générale, indicateur conjoncturel de fécondité (ou indice synthétique de fécondité) et indice de descendance finale. Indice de fécondité : C’est le rapport entre le nombre de naissances vivantes durant une année et le nombre de femmes en âge de procréer (15 à 49 ans). Ce taux dépend de la structure par âge de la population féminine. Or à l’intérieur même de la tranche 15 – 49 ans, il existe une grande variabilité de la fécondité. C’est pour cela que cet indice n’est plus guère utilisé. On peut alors calculer le taux de fécondité pour chaque âge, opération qui sert au calcul de l’indicateur synthétique de fécondité (ou indicateur conjoncturel de fécondité), qui est aujourd’hui davantage utilisé par les démographes, avec l’indicateur de la descendance finale.

Je veux qu’on remplace le taux de fécondité par taux de reproduction. C’est quand même la définition de la définition non ? Pétition !!

Quelques définitions :

  • En biologie, la fécondité exprime la capacité des espèces vivantes, animales ou végétales de se reproduire et d’assurer la perpétuation de l’espèce. C’est le contraire de la stérilité. Lorsque la fécondité est très élevée, on parle de prolificité. Le terme peut s’appliquer à l’espèce en général, ou plus spécialement aux femelles, voire à un individu.
  • En démographie, la fécondité s’exprime par un indice égal au nombre moyen d’enfants nés vivants rapporté à la population féminine en âge de procréer. Voir taux de fécondité.
  • En agriculture, on parle de fécondité de la terre pour exprimer sa capacité à produire des récoltes abondantes. C’est un synonyme de fertilité.

C’est foutu ! Je suis cernée !!!!

Et deuxième abus, il me semble que l’éducation paternelle joue aussi un rôle là-dedans, non ? Vous en pensez quoi messieurs ? A ce que je sache l’autofécondation n’est pas le propre du genre humain.

In fine, il n’empêche que je les trouve pas super super performants ces termes démographiques (oui je sais, c’est mon esprit  biologiste qui parle, m’en fiche). Toute femme n’est pas féconde. Tout homme n’est pas fécond. Peu importe son niveau d’éducation.

Mais bon, pour nos hommes, vu qu’en plus on réduit la fécondité par l’éducation maternelle, et non par l’éducation paternelle, on s’en fout de la fécondité des hommes car il semble que ça ne joue pas sur la fécondité de la femme : si on prend au mot le mot cette phrase de la figure, c’est quand même ce qui ressort.

Ben moi je dis ça comme ça, mais on n’est pas rendu pour expliquer ce qu’est la fécondité, la fertilité, l’infécondité, l’infertilité, c’est moi qui vous le dit, enfin non c’est l’Unic*f qui vous le dit.

Finalement, c’est quand même marrant d’avoir des yeux d’infertile, ça met le doigt sur les abus de langage usité de par le monde, car cela semble si naturel et simple d’être femme ou homme et donc fécond.

Bon, ben sur ce, je retourne à mon boulot.

 

 

20 Réponses to “Ah ah ah !”

  1. Miss infertility 3 avril 2014 à 09:39 #

    Hahaha! je me souviens qu’au lycée on apprenait ces stats. Le taux de fécondité, le taux de renouvellement de la population etc. Malheureusement le vocabulaire n’a pas encore évolué dans ce sens. Sinon pour le côté balèze, j’avais cette impression que dans les milieux plus intello il y avait plus de problèmes de fertilité. C’était une vague impression mais ton article met le doigt dessus. C’est quoi ce livre au fait??? Bisous

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 09:58 #

      Lol, c’est certain que ça rappelle bien des choses.
      Par contre, je ne pense pas qu’il y ait plus de problèmes de fertilité dans tel ou tel milieu. Peut-être qu’on en parle plus, mais je ne pense pas non plus. Je suis convaincue que l’infertilité touche à part égale tous les individus (le « 1 personne sur 6 »), d’où que tu viennes, d’où que tu ailles, d’où que tu sois… Il ne parle pas de l’infertilité dans cette partie du rapport, bien dommage.
      En fait le rapport n’explique pas vraiment cela. Il explique que la corrélation est sur le fait que plus tu as un niveau d’éducation (cours de bio à l’école koi), plus tu as accès à la compréhension des fonctionnements de la fertilité, ainsi plus tu es apte à maitriser ta fécondité (aka connaissance du processus de fécondation, des dates -« j14 » – d’ovulation, des méthodes de contraception naturelle ou chimique… etc…).
      Je pense surtout que dans certains milieux ont en parle plus facilement, mais là encore peu importe le milieu. A tort d’ailleurs, je pensais que des ami(e)s ayant fait de looogues études, qui plus est en science, comprendrait. Je me sentais moins bloquer de ne pas en parler car confiante quant à leur réactions. Erreur grâve erreur. Aucune corrélation entre études et compréhension. Aucun lien entre enseigner la science et comprendre les mécanisme de fertilité. (Je t’assure que si elle me ressort une connerie je lui dit qu’elle arrête d’enseigner car finalement « tout est dans la tête ». Bref).
      En revanche, il est possible que plus tu fais de longues études, plus tu repousses ton désir d’enfanter (notamment parce que la société ne t’accompagnera pas à jongler (c’est mal vu ici, faut pas se leurrer) avec les deux), plus tes chances d’être enceinte s’amenuisent ou s’étalent dans le temps. Mais cela n’explique qu’une part des infertilités, pas les « innées » expliquées et inexpliquées qui quelques soit l’âge et tout et tout sont là. Et puis, si on veut pousser au vice, on pourrait dire qu’il y a infertilité (de fait / innée) et déficit/voire perte de fertilité (acquise… corrélée à l’âge et là toutes les femmes sont logées à la même enseigne, mais il y a aussi des pertes de fertilité dûe à des accidents de la vie… alors bon finalement ça me va pas comme def’… zou on parles d’infertilités avec un « s »). Enfin bref, ce n’est que ma vision, mais bon le truc drôle c’est quand même que depuis tout ce temps on parle encore de taux de fécondité corrélé à l’éducation, alors que ce serait plutôt un taux de reproduction. Fécondité = capacité à. Reproduction = naissance de nouveaux organismes.
      Re bref, l’éducation rend plus accessible la maitrise de la fécondité, mais ne la réduit pas. Voila pourquoi je trouve que c’est un abus de langage, mais je reconnais que c’est une vision à œillère biologique.
      ‘tain l’esprit de synthèse Bounty, l’esprit de synthèse ! Lol
      (Sinon c’est le rapport de cette année sur l’éducation et enfance dans le monde, aka un*cef).
      Bisous

    • Miss infertility 3 avril 2014 à 14:50 #

      Tu es toujours passionnée, c’est génial je trouve !! Tu es vraiment faite pour te battre pour une cause. Bises

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 15:01 #

      Lol, le (mon) gros méga giga souci est dans le « une »… Laquelle ?!?!?! Si t’as la réponse je prend !
      En tout cas merci, ça me touche et m’encourage.
      Bisous

    • Miss infertility 3 avril 2014 à 15:08 #

      hihihi !

  2. Biquette 3 avril 2014 à 10:36 #

    Hihi moi aussi je vis mon boulot au travers de mon regard d’infertile. Lors de ma dernière conférence, j’ai noté d’une petite barre sur mon cahier chaque fois qu’un speaker prenait la fertilité (ou les femmes enceintes, tout dans le même sac dans ma période de J1) pour illustrer sa méthode. (et of course, intérieurement, je critiquais tout :-D)

    Après nullipares, nulligestes, infertiles, stériles, nous voilà à présent infécondes… Enfin, si j’ai bien tout compris, cette dernière catégorie comprendrait aussi les femmes qui utilisent (avec succès) un moyen de contraception… Je suis d’accord avec toi que le terme « fécondité » devrait être remplacé par « reproduction », ça aurait plus de sens et ce serait moins péjoratif à mes yeux d’infertiles. En cherchant un truc sur gogole, je suis tombée sur le terme « fécondabilité ». Serions-nous (aussi!!) infécondables? o_O ouch, il fait très mal ce terme 😦

    Quant au lien entre fécondité et âge maternel: éducation signifie souvent meilleur accès à la contraception (cette explication ne joue que si si j’ai bien compris le truc) et aussi remise à plus tard de la première grossesse donc potentiellement moins d’enfants (en moyenne) pour une femme plus éduquée sur une période cible qui elle ne change pas, càd entre 15 et 49 ans dans tes définitions.

    Finalement, au sujet de l’éducation, globalement, l’éducation paternelle est plus que probablement corrélée avec la fécondité mais aussi avec l’éducation maternelle. D’un point de vue stat (uniquement !!!), j’imagine qu’au delà de l’éducation maternelle, on ne gagne pas significativement de pouvoir explicatif de la fécondité en ajoutant la variable éducation paternelle.

    Esprit de synthèse KO pour moi aussi 😉 Merci pour ton article qui m’a bien fait travailler les méninges (et j’aime ça).

    Bisous

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 11:02 #

      Lol, on doit toutes avoir des yeux exorbités quand on commence à nous raconter des trucs sur la fertilité&co au boulot. Pas mal les petites barres, je prends note ;-). T’en avais combien alors ?

      T’as tout compris, c’est exactement cela ! Du coup, le terme ne va pas trop je trouve. Tout comme toi je pense qu’il est temps de faire évoluer les termes, de les réajuster à l’état des connaissances actuelles…

      Le rapport met en effet en avan (sous-entend)t éducation/accès à la maitrise de la fécondité (contraception ou autre) + éducation longue/repousse (socio-économique selon les « normes » actuelles selon moi) de la première grossesse (et donc des suivantes, moindres par conséquent car ton fameux de taux de fécondité (selon la def’) est plus bas à 30 ans qu’à 20, etc…).

      « Finalement, au sujet de l’éducation, globalement, l’éducation paternelle est plus que probablement corrélée avec la fécondité mais aussi avec l’éducation maternelle. » Exact. « D’un point de vue stat (uniquement !!!), j’imagine qu’au delà de l’éducation maternelle, on ne gagne pas significativement de pouvoir explicatif de la fécondité en ajoutant la variable éducation paternelle. » Carrément vrai car in fine seule la femme féconde et fécondable (lol) a une totale maitrise de la procréation (elle seule tombe physiquement enceinte) (d’où le focus sur l’éducation maternelle).

      « Esprit de synthèse » à bloc ! T’as un super esprit de synthèse, je t’envie !!!!!!

      Bisous

  3. damelapin 3 avril 2014 à 12:03 #

    Aouch les yeux! Peut-être qu’en rapport avec l’éducation, c’est parce que les femmes qui font des études essayent de NE PAS avoir d’enfant pendant ces études. Et comme on fait de + en + d’études longues, on s’y met plus tard que celles qui n’en font pas. Non? Je sais pas. Après c’est une question d’éducation parentale aussi. Dans les 1ers forums fréquentés, combient de fois ai je lu des nanas de 16-17 ans dire « si on met 2 préservatifs, on est 2 fois plus sure de pas tomber enceinte hein? », ou de penser que la méthode du retrait est un moyen de contraception. J’ai même lu sur docti: « bonjour, je suis enceinte, si je fais l’amour, est ce que mon bébé tomber enceinte? » (bon pas avec cette orthographe). Et tenez vous bien, on lui a répondu « Oui si c’est une fille »…………. No comment.

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 12:17 #

      Ouiai, je m’amuse bien, pma perso et amp au boulot 🙂
      Fécondité à la masse sur le plan perso et fécondité pas du tout à la ramasse dans les notes et projets pro.
      En tout cas, pas mal les questions, lol.
      Encore mieux la réponse, qui je l’espère était ironique.
      Bisous

    • damelapin 3 avril 2014 à 14:11 #

      Ben malheureusement je crois pas… ^^

  4. julys974 3 avril 2014 à 14:28 #

    Bon ben bravo: t’as complètement réussi à embrouiller mon cerveau cette fois !!! Moi je dis, dans « fécondité », il y a « fée con dit té » (té, en créole, c’est l’équivalent de ptain). Je suis HS? M’étonne pas…
    Sinon, j’ai une théorie sur fertilité et/ou reproductivité et éducation. Mais je ne suis pas sûre que tu adhères… 😉

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 14:56 #

      Et moi qui pensait être clair. Lol.
      Té c’est pas vrai ça, faut toujours que je fasse compliqué. Par contre Biquette elle est hyper douée pour résumer. Applauze à Biquette !
      J’aime bien ta version 😉
      Elle a du mal à comprendre la fée.
      Fais gaffe à ce que tu dis toi 😉
      Bisous

    • julys974 4 avril 2014 à 09:51 #

      Hey, tu remarqueras que j’ai rien dit… 😉 Mais maintenant que tu en parles, une de mes collègues a une théorie (qui dans le contexte où on bosse se vérifie).
      Notre société fonctionne comme chez les fourmis. Il y a les travailleuses, qui se tuent à la tâche et n’ont pas le temps de se reproduire. Elles sont souvent très organisées, malines, etc… (comme nous quoi !!) et entretiennent la colonie, tout en la protégeant des attaques extérieures. Le pire, c’est qu’elles ont aussi pour mission (parfois) de s’occuper des œufs pondus par la reine: on les appelle alors les ouvrières-nourrice (tiens, ça te rappelle personne?).
      Puis il y a (je le donne en mille!) les pondeuses !!! Elles, elles n’ont pas vraiment de préoccupations, si ce n’est de se reproduire. Souvent, à l’inverse des travailleuses, elles ne foutent pas grand chose.
      Voila voila…
      Petite parenthèse: tu sais que chez les fourmis, le mâle ne sert qu’à féconder une pondeuse? Et en plus, il ne la féconde qu’une fois, parce qu’une fois que l’affaire est consommée, sa tête explose !!! lol

    • Bounty Caramel 4 avril 2014 à 10:53 #

      Lol, et encore, t’as pas regardé comment fonctionne les abeilles, là tu vas flipper… (enfin ton homme va flipper).
      Quant à la théorie des fourmis, je trouve que chacun y occupe une place admirable 😉
      Et j’ai choisi et ou choisir la mienne ! (bon, sauf pour l’infertilité, mais ça c’est un autre sujet…)
      Bisous

    • julys974 4 avril 2014 à 12:09 #

      T’en a trop dit ou pas assez sur les abeilles !! 😉
      Quant aux fourmis, je me dis que moi je me suis ptet trompé de statut du coup… lol Quoique, à bien y réfléchir, je suis pas sûre que de rester à la case pour pondre m’aurait fait kiffer…
      Après, je t’assure que certaines pondeuses ne sont pas du tout admirables et délaissent complètement leurs œufs… Mais bon, on va dire que c’est précisément un sujet sensible chez moi, l’ouvrière nourrice ! 🙂

    • Bounty Caramel 4 avril 2014 à 12:59 #

      Ah ah… la spermothèque de la Reine stocke les spz de 8 à 18 mâles différents… moi je dis que nos hommes ils n’approuvent pas la méthode 😉
      Évidemment, dans n’importe quel des rôles ont peu être dépassés, voire pire, et c’est terrible avant tout pour l’enfant. Et puis forcément, une comme toi qui ne souhaite que le meilleur aux petits et qui attend depuis trop longtemps son petit, ça retourne plutôt fort le couteau dans la plaie….
      Bises

  5. miliette 3 avril 2014 à 16:36 #

    C’est quoi ce truc ??
    Je viens de déchirer/fumer mes diplômes.
    J’attends mon +++++ !!!
    C’est quoi là, décembrette ? Ah ben je sais plus compter les mois bordel !!!

    • Bounty Caramel 3 avril 2014 à 18:06 #

      Lol ! C’est pas la peine, c’est juste vraiment mal formulé.
      Mais bon tu peux toujours aller faire des réclamations aux auteurs pour ton/nos +++ !
      Bises

  6. lorainedc 11 juillet 2022 à 08:49 #

    sacrés bouts de choux! moi-même je suis en PMA depuis longtemps avec plusieurs FIV non abouties, avez-vous des informations sur les législations GPA en Europe svp? l’espagne avec Cryos ou encore le canada ou l’ukraine avec le fameux groupe PMA A. FESKOV dont parlais lidia

  7. emiliennet 16 juillet 2022 à 06:50 #

    bah écoutes l’espagne c’est idem comme la france, la belgique oui, Feskov a un bureau là-bas à bruxelles je pense bien, regarde ceci voir: https://mere-porteuse-centre.fr/

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